Par la faute de certains personnages comme mon père qui m’a communiqué la soif de comprendre, ou encore Stephen Hawking, Saint Augustin, Marc-Alain Ouaknine et quelques autres, j’ai pris goût rapidement à ne cesser de m’interroger sur le monde qui m’entoure, me contient et me comprime, pour tenter de m’en extraire et voguer au delà de ce qui est possible, non point par des études effrénées, je suis bien trop paresseux pour cela, mais par détente, par rêverie, par un des moments d’arrêt ou plutôt de ralentissement de « mon » temps, par une sorte de caresse du monde qui m’entoure, par capillarité avec ce monde qui nous piège malicieusement et que nous pouvons, nous aussi, parfois piéger avec nos rêves.
L’accélération du temps, le progrès technique, les mondes électroniques sont parmi mes sujets de prédilection. J’ai mis sur ce site un texte parlant de tout cela, un texte dont la première version date de 1994, était alors largement écrite au futur. Quelques corrections de temps, dans plein de sens de ce terme, plus tard, voici la version de mai 2013, ultimement retouchée ce matin : Le temps, cette histoire brève.